Putain de sensibilité à la con
Effleurez-moi, et c'est comme si vous me griffiez jusqu'au sang
Une tape amicale dans le dos, et je m'effondre
Un souffle de raillerie, et j'étouffe comme si vous m'aviez privée de mon propre souffle
Même la plus douce caresse me fait l'effet d'une brûlure insoutenable
Mais je ne peux fuir
Panique
Réaction de survie: attaquer
Envie, ou plutôt nécessité de vous réduire au silence, arrêter tout
C'est vous ou moi
Pas que je vous veuille foncièrement du mal, non, mais, à ce moment précis, seule la bienséance (et la peur) me retient de vous clouer au sol, de vous ôter toute possibilité de me toucher
Si seulement, à ce moment précis, vous pouviez disparaître avant que je ne me perde complètement
Parce que plus je vous aime, plus vous me faites mal
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